mercredi, mars 28, 2007

Jouissance Auditive

Suffit, la politique. Aux oubliettes, les soucis. Au placard, les milles-et-uns travaux de session.
Oui, au diable toutes ces choses moches, car ce soir, à 23h43 exactement, j'ai atteint le nirvana.

On m'avait dit que Pierre Lapointe avait sortit un nouveau CD. J'étais follement heureuse. On m'avait dit que c'était un CD de remixes avec seulement une nouvelle chansons. Je fus déçue. J'ai néanmoins décidé d'aller acheter le-dit CD, puisque bon, dessus se retrouve le fameux remix de Ghislain Poirier que j'adore à la folie mais qui ne se retrouvait nulle-part jusqu'à aujourd'hui, à mon plus grand bonheur. À vrai dire, je ne m'attendais pas à grand chose de ce disque là, si ce n'est que quelques chansons de Pierrot vaguement reconnaissables sous des tonnes et des tonnes d'ajouts électro.

Mais Ô joie, bonheur et allégresse en ce début de printemps! Seulement 7 pistes, mais toutes d'excellente qualité! Les remixes des différents DJ sont tous incroyables et savent mettre en valeur chaque chanson, en y ajoutant un petit quelque chose de simplement magique. La nouvelle chanson est tout aussi excellente, autant que celles que l'on retrouve sur La Forêt des Mal-Aimés.

Le pire dans tout ça, c'est que c'est le remix de Ghislain Poirier, celui qui m'a fait acheter le CD, que j'écoute le moins. C'est vous dire à quel point l'album au complet est délicieux! Si vous êtes fans de Pierre Lapointe comme moi, et que vous adorez aussi les beats un peu plus électros, allez, courrez, garrochez-vous pour vous le procurer. Maintenant.

PS : Avis aux intéressés ; Pierre Lapointe fait le show de fermeture des Francos cet été! YAY!

mardi, mars 27, 2007

Les jeux sont faits

J'ai envie de parler des élections de ce soir, mes premières élections. Mais je sais pas quoi ajouter.

C'était prévisible. Avec la montée du super-Mario dû à un écoeurement généralisé, la tendance des gouvernement à durer deux mandats et la perte de confiance des gens pour le PQ, c'était pas mal clair que ca allait donner un truc du genre.

Changement, vraiment? Je sais pas. J'ai certains doutes. Mais bon, donnons lui le bénéfice du doute, qu'il montre ce dont il est capable, notre Mario national. Voir s'il pourra survivre à toutes ces politicailleries et autres trucs louches qui se passent en chambre.

Qui sait ce que ca pourrait donner? Le Québec n'est pas à son meilleur, et je vois mal les choses empirer vraiment, Charest fait une bonne job pour garder ça Stable. Mauvais certes, mais stable. Laissons Dumont jouer dans son carré de sable un instant, le temps qu'il revienne à la réalité et prenne conscience qu'il est pas mal tout seul de son bord.

vendredi, mars 23, 2007

Mmmm, mmmm mmmm.

Ok. Que ce soit clair. Je n'ai aaaabsolument rien contre l'ADQ ni contre son chef. Je n'ai absolument aucun problème à ce que les gens votent pour eux, pour le PQ, Québec solidaire, le parti Vert ou même pour les Libéraux de Charest (quoi que dans ce dernier cas c'est avec un léger haut-le-coeur que j'accepte de concevoir que des gens puissent adhérer à leur connerie généralisée). Votez comme vous le voulez, mais votez.

MAIS (parce qu'il y a toujours un mais quelque part) de grâce, par pitié, je vous en supplie, sachez au moins ce pour quoi vous votez. Y'en a marre des gens qui disent vouloir voter pour l'ADQ parce qu'ils ont '' envie de donner une chance à Mario Dumont'' (pauvre petit). Ayoye toi chose. Tu vas pas adopter un p'tit chien abandonné su'l coin d'une rue, tu vas élire ceux qui prendrons les décisions pour toi pour les 4 prochaines années...! On se réveille!

Y'en a marre des gens qui s'informent pas et qui votent pour un parti random demême. Si, quand quelqu'un vous demande de justifier votre choix vous bloquez et ne savez pas quoi leur répondre, c'est que vous avez de sérieuses questions à vous poser, pi vite appart ça parce que le vote, ben c'est dans 3 jours. SURPRISE!

Bref. Informez-vous, votez et soyez heureux. Amen.

Copie moi ça

Comment peut-on copier l'oeuvre de quelqu'un d'autre en toute conscience et la faire publier sous une maison d'édition quand même assez connue au Québec, en pensant ne jamais se faire prendre...?

C'est ce qu'une jeune fille de 12 ans a pourtant fait en copiant la fanfic de quelqu'un d'autre et en se l'appropriant, en croyant que personne ne s'en rendrait jamais compte. C'est pourtant ce qui est arrivé alors que le véritable auteur a remarqué la ressemblance frappante entre son récit et le roman de la jeune fille, dont certains mots seulement ont été changés. Toute l'histoire ici.

Sérieusement, j'la comprend vraiment pas celle-là. Ok, elle est jeune. Ok, elle a peut-être été prise dans un engrenage incroyable lorsque ses parents ont découvert son roman, plein de fierté et d'étoiles dans les yeux. Mais la jeunesse n'excuse pas un manque de jugement aussi flagrant, et messemble que tu fais pas ca a tes parents, en sachant très bien que ca va te retomber dessus un jour ou l'autre et qu'il sauront la vérité.

Et puis elle doit vraiment pas avoir réfléchi une seule seconde avant de faire ça. J'veux dire, vous imaginez maintenant l'image que les gens auront d'elle maintenant? Je m'en fou, du qu'en-dira-t-on. Mais c'est clair que les autres jeunes qui l'entourent vont très probablement se "méfier" d'elle et peut-être même le lui rappeler sa bourde à chaque jour de son existence (ou du moins de son passage au secondaire). Et puis je sais pas quels étaient ses plans pour l'avenir, mais si elle caressait le rêve de devenir écrivaine un jour, on repassera pour la crédibilité...

C'est triste à dire, mais cette erreur de jeunesse risque de la suivre toute sa vie. Énorme et inconcevable erreur certes, mais erreur tout de même. Tout le monde en fait. C'est juste que certaines personnes ont vraiment un don pour faire des erreurs monumentales

mercredi, mars 21, 2007

En journalisme, moi?

J'aime écrire. Je dirais même que j'adore le français sous pas mal toutes ses formes, et je suis parfois un peu excessive en ce qui concerne la (très triste) baisse du niveau de français parlé et écrit. J'vous vois arriver ici et vous dire '' Eh merde ça recommence. Elle va encore nous faire la morale et nous traiter d'illetrés de la vie. ON S'EN FOUT! ''. N'ayez crainte, là n'est pas mon intention, mais ça ne veut pas dire que je ne le referai pas plus tard..! (On est cruelle ou on l'est pas hein..!)

Mais bon bref, passons.

Question du jour : Qu'est-ce que ça prend pour faire un bon journaliste?

On s'entend que ça prend pas juste une passion des mots. Ça serait beaucoup trop facile. Si j'me pose la question, c'est parce que ca arrive assez fréquemment qu'on me demande '' Mais pourquoi, toi qui écrit si souvent et si bien (?), ne vas-tu pas en journalisme?''. Et je bloque.

Ouin, pourquoi?

Je sais fichtrement pas, en réalité. J'dois avouer que c'est une idée qui m'a beaucoup trotté dans la tête, mais pour une raison X j'ai toujours réussi à me convaincre que j'ai pas ce qu'il faut. Oui, j'aime écrire. Mais ai-je vraiment le talent qu'il faut? L'objectivité qu'il faut? J'ai pas assez de combativité. J'vais me faire manger tout cru, c'est sur. Ah oui? Eeeeeh...Ouan. J'sais plus.

Et puis j'ai jamais participé à la production d'un journal scolaire. Messemble que tout journaliste qui se respecte dois avoir fait parraître au moins un article dans un journal étudiant X, non? C'est la moindre des choses, quand on aime vraiment ca... Jamais eu le courage.

De toute façon, j'ai pas le temps. Et puis personne ne lirait mon article. En plus, je sais pas comment m'y prendre pour soumettre un article, trop compliqué. Tant d'excuses bidons pour ne pas le faire, si peu de bonne raison. Problème de guts, que j'vous dis. J'ai juste peur de la critique au fond. Trouillarde.

Mais bon, de toute façon j'ai trouvé ce que je veux faire dans la vie. J'veux aller étudier en Sexologie, ouais. Tout le monde me ''verrais teeeeeeeeeellement bien là dedans!''. Ça m'intéresse vraiment. Mais desfois, j'peux pas m'empêcher de me demander si c'est vraiment mon premier choix, ou si je ne vais pas là parce que j'ai peur de me planter en allant en journalisme...

Mmmmrshhh..?

lundi, mars 12, 2007

Mardi soir, à vos écrans!


Parce que je serai là! Oh que oui!

Ca va rocker solide, c'est moi qui vous l'dis! Parce qu'ils vont tellement gagner en plus. Ou du moins j'espère. Mais de toute facon, qu'ils perdent ou qu'ils gagnent, je sais que ça va être une foutue belle soirée. Première game au centre Bell ever, et en plus, follement bien placée!

Miam!

vendredi, mars 09, 2007

Ouais ben...

C'est indéniable les choses changent.

Va falloir que je m'adapte.

mardi, mars 06, 2007

Sans titre

Y'a des moments comme ça dans la vie où il faut faire des choix pour éviter l'auto-destruction. Y'a des moments comme ça où on a besoin de prendre du recul face à des situations, des émotions et même parfois des gens pour arriver à y voir plus clair.

Je sais pas si c'est l'hiver. Je sais pas si c'est cette fatigue physique et psychologique que je traine depuis un certain temps, mais j'ai vraiment besoin de faire le point.

Ces temps-ci, je m'étourdis avec toutes sortes de distractions. Depuis les deux dernières semaines, très rares sont les moments où je me suis retrouvée complètement seule avec moi-même. Et maintenant que j'me retrouve finalement seule, j'suis complètement perdue. Je sais que je dois faire le point et revoir mes priorités, mais tellement de choses se bousculent dans ma tête que j'ai peine à y voir clair.

J'ai vraiment une sale baisse d'énergie, et on commence à me le faire remarquer. Je ne suis plus la folle furieuse que j'étais. Je me fous de tout. Je sais que ça va me passer, puisque c'est probablement encore cette putain de dépression saisonnière qui fini par me rattraper. Je sais très bien qu'avec le retour du soleil, je redeviendrai la jeune femme souriante et dynamique, voir hystérique que j'ai toujours été. Mais en attendant, je dois me remettre en question. Faire le grand ménage du printemps dans ma tête. C'est une douleur nécéssaire.

Il est très rare que je me laisse aller à la déprime. Les gens qui me connaissent bien vous le diront. Mais il y a des moments dans la vie où la descente est inévitable, si ce n'est que pour mieux remonter.