J'avais oublié...

Tu sais, le mot qu'on a cherché pendant 20 minutes l'autre jour en fumant une shisha dans notre café préféré?

Je m'en suis souvenu, finalement.

C'est Procrastination.

Ça fait déjà un mois, j'me suis dit que c'était peut-être le temps...

Les passants

Bon.

C'est encore pas mal à l'état de foetus à peine formé, mais j'ai décidé de commencer un autre blogue dans lequel j'écris des textes, souvent commandés par Steff ma charmante coloc que j'aime tant. Si vous avez des commentaires à y laisser n'hésitez pas, c'est vraiment un exercice auquel j'ai décidé de me livrer pour améliorer mon écriture.

Alors c'est ca. Je vais y poster un texte de façon plus ou moins régulière, soit d'idée que j'ai ou de thème ou titre qu'on m'aura donné. Si vous en avez, n'hésitez pas a me les envoyer par courriel ou directement dans les commentaires.

Alors voila. C'est ici que ça se passe...!

Tu sais que t'es dû pour du changement quand...

...Le moment le plus excitant de ta journée, c'est quand tu constate qu'il est 16h45, que c'est l'heure de quitter le bureau, et que la simple idée de rentrer à la maison pour te mettre en pij et écouter des films te donne des palpitations de bonheur.

Politique Fashion

Vous trouvez pas que la pancarte du vert Claude William Genest dans le comté Westmount/Ville-Marie ferait un excellent cover de roman harlequin, avec la chemise déboutonnée, le vert paturage, le cheveux dans le vent pi toute?

A défaut d'être élu, il pognerait en crime auprès des femmes entre 35 et 65 ans.

iiish

Messemble que j'étais pas déprimée hier, pourtant...?!

Ca arrivera plus, promis.

...ou en tk pas trop souvent!

Être en non-devenir

Jarrive ici avec une envie d'écrire. Quelque chose. J'ai une tonne d'idées en tête mais c'est assez abstrait, comme un million de petites bulles qui s'échappent sans que je puisse arriver à les attraper. Je sais qu'elle sont là, je les vois s'échapper et monter lentement, à ma portée, mais dès le toucher elle éclatent comme si elles n'avaient jamais existé.

Je ne vais plus à l'école. Pas parce que je ne veux plus y aller. Ni parce que je ne sais pas quoi faire. Je n'y vais plus parce que j'ai peur.

J'ai peur de ne pas devenir. Je crains ce qui pourrait ne jamais arriver.

Je sais ce que je veux. Je le sais très bien, mais même si on me répète sans cesse que je devrais foncer, que j'ai du talent, que je dois le faire, j'ai toujours cette peur, enfouie en boule au fond de mon estomac et là pour rester, de ne pas atteindre mes propres attentes et de vivre dans l'amertume de ma propre déception.

Je sais, c'est un peu con. Au fond, ne pas me lancer reviens à échouer. Mais on dirait que de m'avouer vaincue avant d'avoir lutté, à défaut de prouver ma nullité, vient seulement la laisser entrevoir.

Je ne sais pas pourquoi c'est ce soir, maintenant, que j'ose enfin me l'avouer.

J'ai peur de ne pas devenir la personne qu'on veut que je sois. La personne que je veux être.

C'est décousu, c'est brouillon.

C'est moi.

J'ai les doigts qui picottent

Et c'est bon signe.

J'ai comme l'impression que vous allez avoir à me subir à nouveau bientôt..!

Fuyez pendant qu'il en est encore temps..!

:)